«Début de la 14e rencontre depuis le début de la rébellion», s'écria l'organisateur. Une dizaines d'hommes s'assirent calmement dans leurs chaises. On ne pouvait ignorer la resplendissante salle de réunion vitrée et moderne, souvent teintée de blanc. Un homme se leva finalement, celui au bout de la table. Il s'élança dans un bref discourt: «Bienvenue, mes amis. Nous sommes ici, ce matin, pour enfin annoncer notre grande victoire contre les rebelles et la destruction complète du district 13.» L'entièreté des hauts fonctionnaires, des ministres et des actionnaires applaudirent férocement les paroles du président capitolien. «Pour célébrer ceci, une grande soirée sera organisée au parlement pour tous capitoliens confondus. Mais, avant tout, je voudrais vous présenter un partenaire à moi qui a eu une brillante idée. Je le laisse vous l'expliquer, voici Arnold Guten.»

Une jeune homme maigrichon, très nerveux, avec des airs de "Nerdz", se leva et salua faiblement les quelques ministres qui eux, le regardaient d'un air très las. «B-Bonjour», bégaya-t'il. «Mon idée est.. une idée, qui va changer la vie de tout Panem!» Même si plusieurs pensaient à une blague, plusieurs avaient quand même l'air intrigués. «J'ai nommé cette "idée", les Hunger Games ! Le principe serait simple. Vingt-quatre enfants âgés entre 12 et 18 ans provenant de la population des district, plus précisément un garçon et une fille chacun décidés par une pige communautaire réalisée dans chaque districts, seraient relâchés dans une arène créée par un créateur sadique. Seul un survivrait et serait glorifié jusqu'à sa mort.» Après le mot "mort", plusieurs étaient perplexe à l'idée de faire des jeux de mort. Seul un se risqua: «D'accord.. mais à quoi tout ceci nous servirait?»

Un large sourire se dessina sur le visage d'Arnold, d'un coup, une énergie nouvelle l'enveloppa. Son charisme avait subitement augmenté. «Hé bien, monsieur.», commença-t'il. «Ce que pourrait nous apporter ces "Hunger Games" se résument en deux mots: Pouvoir et Argent. Argent, parce que les cotes d'écoutes nous ferons faire beaucoup de profits et pouvoir, parce que le Capitole assurera sa suprématie aux district. Et que quoi qu'ils fassent, ce sera le Capitole le maître et que ce le sera toujours. Ça va leur faire peur, ils seront terrifiés à l'idée de devoir y participer et en plus, si nous récompensons le gagnant, les district plus riches enverront leurs tributs pour se glorifier et glorifier les familles. De ce fait même la récompense ne seront qu'une infime partie de nos géants profits.»Maintenant, la plupart des ministres, des actionnaires et des hauts fonctionnaires étaient convaincus. Par contre, un seul se risqua une autre fois avec une question: «Et qui sera cet être sadique qui créera ces fameuses arènes?» «Ce sera Blake Klaus», répondit rapidement Arnold. «Le tueur en série qui avait fait la une des journaux parce qu'il s'inspirait de vieux films des temps anciens pour tuer ses victimes dans d'atroces jeux sadiques.»

Tous les actionnaires et autres personnes importantes furent d'accord à 97% des votes pour intégrer les Hunger Games. Quelques semaines plus tard, Blake Klaus fut libéré sous caution et dans l'obligation de créer et de s'occuper des arènes. Plusieurs nouvelles règles ont été émient et l'idée d'Arnold a été redéveloppée. C'est pourquoi, quelques-unes des arènes seront seulement à douze tributs, soit un tribut par district, sexe confondu.

Puisse le sort, vous être favorable !